IDays reçues

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IDays reçues

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#01 l’innovation arrive par hasard

Contrairement à certains préjugés, l’innovation n’est pas le fruit du hasard. En fait, comme l’écrivait Louis Pasteur, «le hasard ne favorise que les esprits préparés». L’innovation résulte très souvent de l’obstination d’un chercheur, d’une équipe ou d’une entreprise visionnaires. développer des stratégies à long terme, souvent visionnaires, permet de contrer l’idée fausse d’une innovation tributaire du pur hasard.
Source : lesechos.fr

#02 l’innovation est réservée au secteur high-tech

Non ! Certes, avec 30% de citations spontanées, Apple est considéré comme la marque la plus innovante, suivie de Samsung (17%), Google (6%) et Sony (4%). Cependant, 24% des Français n’attribuent pas naturellement l’innovation à une marque précise. Par ailleurs, pour la moitié d’entre eux, l’innovation n’est pas forcément technologique. Elle est aussi un critère de choix déterminant pour les secteurs de la maison (50%), du prêt-à-porter (41%), des sports et loisirs (41%), de la banque et assurance (37%) et de l’alimentation (35%).
Source : cbnews.fr

#03 L’innovation est nécessairement une rupture

« GO INNO » révèle que 55% des Français attendent des produits « rupturistes », c’est-à-dire un produit jamais vu ou ne ressemblant à aucun autre, mais ils sont autant à penser que les marques ne proposent qu’une version améliorée d’un produit existant. Cette perception s’accentue chez les femmes (60%), les jeunes (62% des 16-24 ans) et les seniors (50-65 ans).
Source : ladn.eu

#04 Je vais lancer un questionnaire sur Facebook, comme ça, je saurai si mon projet a du potentiel

Les tests quantitatifs sont de bons indicateurs, mais il faut prendre les résultats avec des pincettes, qu’ils soient positifs ou négatifs. Il y a souvent un décalage entre ce que les gens disent et ce qu’ils font réellement et pour des produits très innovants, les personnes interrogées peuvent avoir du mal à se projeter…
Source : maddyness.com

#05 La créativité est synonyme d’innovation

La créativité est certes nécessaire mais ne suffit pas. Mary Sonnack, chimiste de formation chez 3M est une des premières à avoir compris la nécessité de replacer la créativité au coeur du « business ». C’est dans cette optique qu’elle a établi avec Eric Von Heppel, du MIT une méthode destinée à orienter la créativité vers des marchés encore insoupçonnés. Il n’y a innovation que si la créativité est guidée par des finalités ambitieuses et tournées vers des besoins insatisfaits et non exprimés.
Source : lesechos.fr

#06 L’innovation doit venir de l’intérieur de l’entreprise

Le syndrome du NIH (Not Invented Here*) qui témoigne de la difficulté de l’entreprise à adopter une technologie externe est l’un des principaux freins à l’innovation. Les entreprises doivent aujourd’hui réaliser qu’elles ne sont plus en mesure de disposer des meilleurs experts dans tous les domaines. Les entreprises doivent se tourner vers l’extérieur aussi bien en amont qu’en aval.
*Not Invented Here : Non inventé ici
Source : lesechos.fr

#07 Pour innover, il faut être expert absolu dans son domaine  

Cette idée est très répandue dans les grands groupes dotés de services de R&D et qui délèguent rarement leur innovation. Cela part de l’intuition que, dans l’entreprise, celui qui innove, c’est celui qui connaît le mieux le projet. Pour innover un oeil neuf est nécessaire. C’est la raison pour laquelle, de plus en plus, certaines grandes entreprises font le choix de déléguer leur innovation en faisant appel à un bureau d’outsourcing.
Source : bilan.ch

#08 Pour innover, il faut être totalement libre 

Il existe une image très romantique de l’innovateur qui serait un individu totalement détaché de toute contingence. Les photos des espaces de travail « friendly » de Google, équipées de babyfoot, ont contribué à renforcer cette idée. Il faut créer un environnement favorable à l’innovation et laisser les collaborateurs s’épanouir dans des univers qui ressemblent davantage à des lieux de détente qu’à des espaces de co-working. Ces conditions ne suffisent pas à elles seules, à expliquer le fait qu’une entreprise peut innover.
Source : bilan.ch

#09 Impossible de se financer en France 

Même si la France n’a pas la meilleure réputation en terme d’investissement, il ne faut pas avoir peur de se lancer ! Le système français demande juste plus de patience, et des stratégies peut-être plus progressives. Pour débuter, la love-money et les Business Angels sont d’excellentes alternatives. Ils apporteront un poids à l’entreprise qui lui permettra plus tard de lever des fonds. De plus, les aides, les incubateurs/pépinières, et autres concours se font de plus en plus nombreux pour aider les lancements de projets.
Source : dynamique-mag

#10 Je vais doubler mon salaire !

Ce n’est pas parce que vous aller devenir votre « propre patron » que vous allez empocher le salaire de votre ancien patron. Alors, c’est vrai, c’est vous qui fixez combien vous vous payez. Mais sachez qu’une start-up peut mettre beaucoup de temps à rapporter de l’argent, et, quand elle sera rentable, il s’agira encore de rembourser les investissements… D’autres projets n’ont pas de business model au départ, et attendent une forte traction pour monétiser leur système. Ce qui peut demander beaucoup de temps.
Source : dynamique-mag

#11 Les entrepreneurs ont fait de grosses études 

Enormément d’entrepreneurs se sont lancés, non parce qu’ils avaient un gros niveau d’étude, mais parce qu’ils disposaient d’une forte expérience dans tel domaine. Quand vous êtes chef d’entreprise, personne ne va regarder votre diplôme, c’est l’expérience qui compte. Plus que de longues études dans un domaine, l’entrepreneur gagne à savoir remplir des tâches différentes.
Source : dynamique-mag

#12 Les femmes sont moins entrepreneures que les hommes

“On a longtemps associé l’entrepreneuriat à des qualités traditionnellement attribuées aux hommes. Cette différence entre hommes et femmes est une construction sociale contre laquelle il est important de lutter.”

En 2013, 28 % des femmes déclaraient vouloir créer leur entreprise, soit presque autant que les hommes (32 %). Pourtant, force est de constater que moins d’un tiers des créateurs d’entreprise sont des créatrices !
Source : magazine.horizonentrepreneurs 

#13 Entreprendre, c’est prendre des risques !

En tant qu’entrepreneurs, on a bien conscience de la probabilité que notre projet échoue. Par contre, de là à assimiler l’entrepreneuriat à une partie de poker… En réalité, on prend des risques mesurés, parfaitement calculés. On s’engage lorsque l’on a confiance en nous, que l’on est bien entouré, que l’on s’est bien renseigné, et qu’on a essayé de prévoir un maximum de choses pour réduire les risques et les ramener presque à zéro.
Source : startup-story.fr

#14 Le business d’abord, la vie perso après !

Bon, il est assez fréquent d’entendre un entrepreneur dire qu’il a mis de côté sa vie perso pour se concentrer sur la réussite de son projet. Cool ! Mais faut-il attendre d’avoir levé plusieurs millions d’euros pour enfin souffler ?
Source : startup-story.fr

#15 Il faut l’idée du siècle

Une idée du siècle c’est quoi au fond ? C’est une idée qui répond à ces 4 critères :
Elle me correspond :  60% des créateurs créent dans un secteur qu’ils connaissent. Nous sommes meilleurs dans les domaines que l’on aime et que l’on connaît.
Elle répond à un besoin : C’est la base de l’initiative, vérifier que notre idée réponde à un besoin. Pour cela, nous pouvons imaginer plusieurs méthodes :
Elle est un peu différente : Comment trouver L’IDEE qui n’existe pas encore ? Il peut en être autrement, nous pouvons avoir une idée qui existe déjà et qui marche.
Elle est simple : Simplifions-nous la vie. Les meilleures idées sont souvent toutes simples car évidentes.
Source : Lasuitedanslesidées.fr

#16 On vit une période rêvée pour se lancer dans l’entrepreneuriat

Contrairement à ce qu’il se faisait il y a 30 ans, les entrepreneurs sont de plus en plus soutenus, y compris en France. Pour Yann Gozlan, c’est d’ailleurs plus que jamais « le bon moment pour lancer sa boîte » tant il existe un nombre important de « structures de conseils – incubateurs, centres d’innovations, écoles, etc. », mais aussi des initiatives (concours, campagne BPIFrance etc.) soutenant les projets. Surtout, contrairement à ses prédécesseurs, l’entrepreneur du 21e siècle dispose d’un formidable outil : le crowdfunding. Outre le volet financement « cela permet de voir pas à pas si l’on est dans la bonne direction », analyse Yann Gozlan.
Source : blogs.ionis-stm.com

#17 Ce n’est pas l’idée qui fait le succès

La meilleure idée du monde ne reste qu’une idée : ce qui compte, c’est sa transformation. « L’idée ne vaut rien, juge Bertrand Petit. Si elle est bonne, quelqu’un vous la piquera. Il faut d’abord s’intéresser à un problème et développer par itérations des idées au fur et à mesure autour de celui-ci. » Ainsi, pour éviter d’être la proie des copycats, il convient de développer une vision plus large capable de se nourrir de ce qu’il se trame ailleurs. Evitez alors de vouloir réinventer la roue (d’autres ont déjà essayé) mais concentrez-vous sur l’usage qui en est fait. Et surtout n’emménagez jamais dans une tour d’ivoire.
Source : ionis-group.com

#18 Il est impossible de rebondir après un premier échec

Faire couler sa start-up, se planter : voilà quelque-chose qui a de quoi effrayer les néo-entrepreneurs. Ils ne devraient pas l’être à en croire Yann Gozlan. « Longtemps a existé le fichage dans les banques, ce qui faisait qu’elles ne vous prêtaient pas d’argent après un échec. Le rebond était plus difficile à cette époque. Aujourd’hui, ces fiches sont interdites. C’est déjà un plus non négligeable pour des entrepreneurs qui, pour vivre, ne peuvent qu’entreprendre justement et aller de l’avant. Aussi, c’est parfois dans l’échec qu’on voit si une équipe fonctionne ».
Si en France l’échec a parfois mauvaise presse, il suffit de voir chez nos voisins américains ou asiatiques que ce n’est pas forcément le cas : dans de nombreux pays, il est vu comme un gain énorme d’expérience.
Source : blogs.ionis-stm.com

#19 Le financement de l’innovation est impossible en France

Amiando, Allmyapps et Moxity,ce ne sont que des exemples mais ceci prouve bien que le financement de l’innovation est possible en France. Possible, mais difficile. Mais la difficulté n’est-elle pas le moteur essentiel d’un entrepreneur ? Sachez vendre votre projet, créateurs de France ! Oui, la recherche de financement, c’est aussi et surtout de la vente.
Source : business-angel-france.com

#20 Aller à Innovaday est une perte de temps 

Innovaday, c’est la journée de l’innovation et de l’investissement : entrepreneurs novateurs, investisseurs passionnés, partenaires potentiels, structures engagées, intervenants experts se rencontrent pour échanger leur expérience et leur volonté à se développer.
Innovaday c’est aussi une thématique précise chaque année, en réponse aux enjeux économiques mondiaux évolutifs, et donne lieu à des conférences, tables rondes et ateliers.
Innovaday se renouvelle en changeant de lieu puisqu’il se déroulera le 09 juin à L’Enseirb Matmeca de Talence, école formatrice de futurs entrepreneurs.
Innovaday pense à tout pour que vous puissiez profiter pleinement de cette journée : espace détente, restauration à emporter, espace extérieur, bornes de recharge mobiles.
Alors, l’évènement passera certainement trop vite mais ne sera sûrement pas une perte de temps.

#21 Se réunir est un début, travailler ensemble est la réussite.

Grâce à la conjonction des expertises de Bordeaux Unitec et de l’Agence de Développement et d’Innovation Aquitaine Limousin Poitou-Charentes, le Forum Innovaday a permis de rassembler de nombreux acteurs de l’innovation.
Innovaday 2016 c’est :
* + de 600 participants,
* 180 candidatures (+30% par rapport à 2014),
* 33 start-ups lauréates,
* 5 ateliers,
* 1 tête d’affiche : 
Jean de La Rochebrochard,
* 23 speakers,
* 4ème des Top Tweets de France : #iDay2016,
* une audience Twitter de 2 millions,
* 1550 tweets sur la journée,
* + de 15 interviews,
* 41 organismes accélérateurs
* 3 coups de coeur 

 

Innovaday 2023 c'est déjà fini...

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